A la fin de The two towers, le magicien Saroumane (Christopher Lee) qui s'était mis au service de Sauron est vaincu mais le seigneur des ténèbres dispose toujours des forces nécessaires pour conquérir le monde. Dans The return of the king, il envoie ses armées à l'assaut de Minas Tirith, la capitale de la Terre du Milieu et les royaumes ne sont pas prêts à lui tenir tête. Plus que jamais, le sort du monde dépend de Frodo Baggins (Elijah Wood) et de Sam Gamegie (Sean Astin) qui ont pour mission d'amener l'anneau unique dans les laves de la montagne du destin, seul endroit où il peut être détruit et unique moyen de vaincre Sauron définitivement.
Peter Jackson achève son adaptation de la trilogie de The Lord of the rings en apothéose. La bataille de Minas Tirith fait partie de ce que j'ai pu voir de plus époustouflant sur un écran. Le réalisateur néo-zélandais offre un spectacle généreux sans que jamais les personnages, toujours aussi passionnants et touchants dans ce qu'ils font et dans ce qu'ils sont, ne soient écrasés sous le déluge d'effets spéciaux en tous genres auquel assistent les spectateurs. Il y a bien parfois quelques plans numériques flagrants mais ce n'est rien face à la qualité de l'ensemble.
Je me sens toujours un peu vidé à la fin de The return of the king. Il faut être capable de supporter les 4 heures que dure la version longue mais c'est aussi l’achèvement d'une épopée qui a commencé près de 12 heures auparavant si l'on regarde les versions longues depuis The fellowship of the ring. Tant d'émotions contradictoires, tant d'enjeux individuels et collectifs qui se sont manifestés.
J'ai, aussi, toujours un petit pincement au cœur quand le film se termine. On se dit que c'est la fin d'une formidable aventure qui nous a embarqué loin de chez nous, qu'on ne vibrera plus pour le destin de la terre du Milieu ou le royaume du Rohan, qu'on quitte définitivement Frodo, Gandalf, Aragorn, Arwen et tant d'autres.
On se dit que le voyage a été extraordinaire.
Peter Jackson achève son adaptation de la trilogie de The Lord of the rings en apothéose. La bataille de Minas Tirith fait partie de ce que j'ai pu voir de plus époustouflant sur un écran. Le réalisateur néo-zélandais offre un spectacle généreux sans que jamais les personnages, toujours aussi passionnants et touchants dans ce qu'ils font et dans ce qu'ils sont, ne soient écrasés sous le déluge d'effets spéciaux en tous genres auquel assistent les spectateurs. Il y a bien parfois quelques plans numériques flagrants mais ce n'est rien face à la qualité de l'ensemble.
Je me sens toujours un peu vidé à la fin de The return of the king. Il faut être capable de supporter les 4 heures que dure la version longue mais c'est aussi l’achèvement d'une épopée qui a commencé près de 12 heures auparavant si l'on regarde les versions longues depuis The fellowship of the ring. Tant d'émotions contradictoires, tant d'enjeux individuels et collectifs qui se sont manifestés.
J'ai, aussi, toujours un petit pincement au cœur quand le film se termine. On se dit que c'est la fin d'une formidable aventure qui nous a embarqué loin de chez nous, qu'on ne vibrera plus pour le destin de la terre du Milieu ou le royaume du Rohan, qu'on quitte définitivement Frodo, Gandalf, Aragorn, Arwen et tant d'autres.
On se dit que le voyage a été extraordinaire.
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