La vie au sein de la prison qui protège les survivants des zombies (ou des rôdeurs comme ils sont dénommés dans ce comic) s'organise de plus en plus quand un hélicoptère survolant la région est aperçu pour très vite s'écraser au loin. Quelques-uns (dont Rick, le personnage principal que l'on suit depuis les premières pages, Michonne, l'experte dans le maniement du katana et Glenn, un jeune asiatique, ancien livreur de pizzas) décident de rejoindre le lieu du crash. Pendant leur virée, les protagonistes se dévoilent un peu et l'on apprend par exemple qu'avant le basculement du monde, Michonne était avocate. C'est aussi l'occasion pour ceux restés à la prison dans l'attente du retour de leurs compagnons de se confier.
Ainsi, les différents protagonistes prennent de l'épaisseur au fil des pages. Walking dead ne se contente pas d'être un simple divertissement horrifique, divers thèmes sont abordés, l'évolution psychologique des personnages, des sujets sociétaux et même l'organisation politique d'un groupe d'humains. D'ailleurs, si les survivants que nous suivons depuis plusieurs volumes tentent en réalité de reconstruire une organisation démocratique, Rick, Michonne et Glenn, dans leur périple vers l'hélicoptère vont tomber sur un autre groupe dont les fondements de la reconstruction sont tout autre et reposent entre les mains d'un homme qui se fait appeler le gouverneur et qui a établi un spectacle horrible pour divertir les gens. Au milieu d'un terrain de baseball, il livre à des zombies des humains bien vivants et dépourvus de moyens de défense. Ils doivent alors se débrouiller pour survivre, ce qui est quasiment impossible. Un spectacle horrible qui rappelle les combats des gladiateurs de Rome et qui ne sont pas non plus sans faire penser aux émissions de télé réalité actuelles. Un régime autocratique donc, où la population est abrutie par des jeux violents et idiots.
Depuis la trilogie des morts vivants de George A. Romero (Night of the living dead, Zombie, Day of the dead et qui s'est ensuite allongée de trois autres films à partir des années 2000), Walking dead est ce qu'il se fait de mieux en matière d'histoires de zombies, du moins jusqu'à présent. Vu le nombre de volumes (vingt-trois à ce jour), j'imagine que, tôt ou tard, quelques numéros se feront plus faibles. Pour le moment, c'est un sans faute.
Ainsi, les différents protagonistes prennent de l'épaisseur au fil des pages. Walking dead ne se contente pas d'être un simple divertissement horrifique, divers thèmes sont abordés, l'évolution psychologique des personnages, des sujets sociétaux et même l'organisation politique d'un groupe d'humains. D'ailleurs, si les survivants que nous suivons depuis plusieurs volumes tentent en réalité de reconstruire une organisation démocratique, Rick, Michonne et Glenn, dans leur périple vers l'hélicoptère vont tomber sur un autre groupe dont les fondements de la reconstruction sont tout autre et reposent entre les mains d'un homme qui se fait appeler le gouverneur et qui a établi un spectacle horrible pour divertir les gens. Au milieu d'un terrain de baseball, il livre à des zombies des humains bien vivants et dépourvus de moyens de défense. Ils doivent alors se débrouiller pour survivre, ce qui est quasiment impossible. Un spectacle horrible qui rappelle les combats des gladiateurs de Rome et qui ne sont pas non plus sans faire penser aux émissions de télé réalité actuelles. Un régime autocratique donc, où la population est abrutie par des jeux violents et idiots.
Depuis la trilogie des morts vivants de George A. Romero (Night of the living dead, Zombie, Day of the dead et qui s'est ensuite allongée de trois autres films à partir des années 2000), Walking dead est ce qu'il se fait de mieux en matière d'histoires de zombies, du moins jusqu'à présent. Vu le nombre de volumes (vingt-trois à ce jour), j'imagine que, tôt ou tard, quelques numéros se feront plus faibles. Pour le moment, c'est un sans faute.
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