Les productions américaines, quel que soit le support, ne sont pas connues pour être des productions engagées ou à message ; et pourtant, il arrive qu'elles abordent des thèmes sociaux et sociétaux même quand elles n'apparaissent au premier abord qu'en tant que divertissement.
Dans ce treizième volume de Walking dead, alors que nous sommes en présence d'un groupe qui tente un début de reconstruction de société, il est intéressant de constater que le premier thème abordé dans ce cadre est celui de la violence conjugale et la façon de rendre la justice face à ce problème. Ce n'est pas anodin, loin de là, et cela renvoie à l'une de nos principales questions au sein des nôtres.
Je préfère toujours voir une œuvre qui, sous un enrobage de divertissement, dit des choses sur nous et notre monde, plutôt qu'une autre qui passe son temps à nous marteler un message qui finira par nous assommer. Je pense surtout au cinéma, puisque c'est depuis plusieurs décennies, le média le plus largement diffusé à travers le monde, mais il est bien entendu évident que d'autres utilisent ce type de procédé et ce numéro de Walking dead en est un bon exemple.
Il faut croire aussi que l'univers des zombies se prête bien à ce genre de démonstration puisque George A. Romero, dont la trilogie des morts vivant fait partie désormais des classiques du cinéma d'horreur, profitait de ses films pour critiquer le fonctionnement de nos sociétés (le racisme, le consumérisme, l'armée, etc.) ; et plus largement, le cinéma horrifique ne s'est régulièrement pas gêné pour glisser des critiques à l'attention du spectateur. En quelque sorte, Walking dead perpétue la tradition du genre sur papier.
Dans ce treizième volume de Walking dead, alors que nous sommes en présence d'un groupe qui tente un début de reconstruction de société, il est intéressant de constater que le premier thème abordé dans ce cadre est celui de la violence conjugale et la façon de rendre la justice face à ce problème. Ce n'est pas anodin, loin de là, et cela renvoie à l'une de nos principales questions au sein des nôtres.
Je préfère toujours voir une œuvre qui, sous un enrobage de divertissement, dit des choses sur nous et notre monde, plutôt qu'une autre qui passe son temps à nous marteler un message qui finira par nous assommer. Je pense surtout au cinéma, puisque c'est depuis plusieurs décennies, le média le plus largement diffusé à travers le monde, mais il est bien entendu évident que d'autres utilisent ce type de procédé et ce numéro de Walking dead en est un bon exemple.
Il faut croire aussi que l'univers des zombies se prête bien à ce genre de démonstration puisque George A. Romero, dont la trilogie des morts vivant fait partie désormais des classiques du cinéma d'horreur, profitait de ses films pour critiquer le fonctionnement de nos sociétés (le racisme, le consumérisme, l'armée, etc.) ; et plus largement, le cinéma horrifique ne s'est régulièrement pas gêné pour glisser des critiques à l'attention du spectateur. En quelque sorte, Walking dead perpétue la tradition du genre sur papier.
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