Le titre de l'album est un clin d’œil à "Shaken not stirred", la formule de James Bond à chaque commande de Vodka Martini. Les thèmes bondiens sont passés à la moulinette sous la direction du compositeur David Arnold.
Celui-ci a confectionné les bandes originales de Tomorrow never dies, The world is not enough, Die another day et Casino Royale. Il a apporté à ces films un son électronique moderne et dynamique pour revenir à une partition plus classique sur le dernier, changement d'acteur et de direction.
Shaken and stirred : The David Arnold James Bond project est un album conceptuel de reprises de titres bondiens avec des artistes de musique rock et électronique. Un très bon disque en phase avec son époque et ce qu'il se faisait il y a vingt ans.
Aujourd'hui, il est encore parfaitement écoutable et bouillonne toujours d'énergie.
Son point fort est toujours, à mon avis, la revisite de On her Majesty's secret service de Propellerheads et son point faible reste The James Bond theme par LTJ Bukem.
La cerise sur le gâteau est d'avoir fait chanter We have all the time in the world par Iggy Pop ; un Iggy Pop tout en retenue alors que l'on pouvait craindre des débordements vocaux tels qu'il sait les faire.
Plus que des reprises, ce disque est une relecture intéressante, et amusante, de l'univers musical bondien.
La cerise sur le gâteau est d'avoir fait chanter We have all the time in the world par Iggy Pop ; un Iggy Pop tout en retenue alors que l'on pouvait craindre des débordements vocaux tels qu'il sait les faire.
Plus que des reprises, ce disque est une relecture intéressante, et amusante, de l'univers musical bondien.
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